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    Un nouveau joyau culturel pour la production cinématographique au TOGO.Son EPE-EKPE ou LA PRISE DE LA PIERRE SACREE, un documentaire de 52 minutes qui relève des valeurs culturelles et cultuelles du peuple GUIN.Une réalisation de Zavier Balouki.

     

     

     

    Synopsis du Documentaire Epé-Ekpé

    ou la Prise de la Pierre Sacrée

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         Aného, ville du sud Togo, à une cinquantaine de km de la capitale Lomé. Ville tricentenaire, a été deux fois capitale à l’époque coloniale. Dans cette  localité, se déroule chaque année, dans le courant du 13ème mois lunaire, une série de manifestations à la fois cultuelles et culturelles qui rassemble les GUIN du Ghana, du Togo et du Bénin. <o:p></o:p>

    Des rituels légués de génération en génération, par les ancêtres venus de l’ex Gold Coast (Ghana) depuis plus de trois cent ans et qui drainent chaque année des foules immenses venues des quatre coins du monde : EPE EKPE ou les cérémonies de  la prise de la « pierre sacrée » chez le peuple GUIN ne sont pas seulement des moments de retrouvailles et de réjouissances populaires mais aussi et surtout des moments de dévotion et d’adoration en hommage aux dieux protecteurs de la cité. La pénétration du christianisme en Afrique et le vent de la modernité n’ont pas déraciné les valeurs ancestrales  et ces divinités noires. <o:p></o:p>

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    Qui était Atsutsè  Kokouvi Agbobli<o:p></o:p>

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    Atsutsè Kokouvi Agbobli est né au Togo, en 1941. Diplôme de l’institut d’études politiques de Paris en 1969 (France) et continu pour en ressortir titulaire d’un doctorat de 3ème cycle en Histoire à <st1:personname w:st="on" productid="la Sorbonne. Atsuts│"><st1:personname w:st="on" productid="la Sorbonne.">la Sorbonne.</st1:personname> Atsutsè</st1:personname> Agbobli diplôme en main se lance dans l’exercice de sa profession et devient successivement enseignant au Gabon puis chef de division au département politique au secrétariat général de l’O.U.A  à Addis-Abeba  puis fonctionnaire au Bureau International du Travail de 1980 à 1987. Il fut également journaliste chroniqueur à Paris pour l’hebdomadaire Jeune Afrique puis directeur de l’Institut Panafricain des Relations Internationales de Genève. De retour à Lomé en 1991, il débute sa carrière politique en étant délégué du CALDAN (Club des Amis de <st1:personname w:st="on" productid="la Libert←">la Liberté</st1:personname> et de <st1:personname w:st="on" productid="la D←mocratie">la Démocratie</st1:personname> en Afrique Noire ) à la conférence nationale qui engageât le TOGO sur la voie de la démocratie . son dévouement et son engagement sera consacré en 1994 par le poste de Ministre de <st1:personname w:st="on" productid="la Communication">la Communication</st1:personname> et de <st1:personname w:st="on" productid="la Culture">la Culture</st1:personname> puis celui de Ministre chargé des relations avec l’Assemblée Nationale .     

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     Atsutsè Kokouvi Agbobli a plusieurs cordes à son arc ; il s’illustre aussi entant qu’écrivain et est auteur de : Sylvanus Olympio Un destin tragique puis créé le bimensuel Afric’hebdo.

     

    Militant convaincu du leadership africain il fonde en 2007 le MODENA ( Mouvement pour le Développement National) .

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      Atsutsè Kokouvi Agbobli nous a quitté le 14 Aout 2008 à l’âge de 67 ans laissant derrrière lui une et trois enfants.


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    Vendredi 16 août 2008: une date qui restera gravée dans nos mémoires.Atsutsè Kokouvi AGBOBLI nous a quitté d'une manière inexpliquée...insolite je dirais curieuse.

    Atsutsé Agbobli, historien, politologue et journaliste, ancien ministre de la Communication et de la Culture, nous a quitté  dans la nuit de jeudi à vendredi. Les diatribes de celui ci les écrits toute cette  connaissance reste une grande perte pour tous les togolais.

    Les circontances de la mort de cet illustre personnage reste un mystère total. Tandis que la thèse du suicide est avancée de façon officielle sa famille réclame une autopsie et  la Commission nationale des droits de l'homme (CNDH) sollicite, une enquête

    RECIT DES FAITS

     

    Atsutsè AGBOBLI, 67 ans souffrait d’une intoxication  et hospitalisé à la  clinique FIADJOE . D’après les informations recueillies auprès de la famille, il aurait appelé son chauffeur 72HEURES plus tôt et lui aurait demandé de le déposer à l’Hôtel mercure Sarakawa où il devrait rencontrer quelqu’un. Le personnel soignant de la clinique aurait, par ailleurs, constaté la disparition du malade alors qu’il était sous soins intensifs.

    Ce n’est qu’à l’aube du 17 aout  que les habitants du quartier ont été alertés par la découverte.

    Pour l’instant aucune piste sur la cause de la mort n’a été officiellement annoncée.

    Paix à son âme!!!

     


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  • Jean Christophe Averty (1928 - ) est un réalisateur de télévision et homme de radio, éminent Satrape du Collège de 'Pataphysique, au même titre que Jacques Prevert, Alfred Jarry, Man Ray ou encore Marcel Duchamp. Il est connu pour son tempérament explosif et son fort caractère. Il a toujours respecté l'intelligence du grand public et chacune de ses émissions de télé étaient l'occasion de multiples expérimentations vidéos. Cependant, quand il réalise l'émission « Raisins verts » en 1963, il se heurte au public car il tenait à chaque fin d'émission à faire passer un poupon à la moulinette « Je passais le bébé dans le moulin. C'est devenu ma marque de fabrique, mon blason, ma croix gammée. »

    Il réalise en 1966 « Autoportrait mou de Salvador Dali ». Le travail avec le peintre se passe très mal, Dali dira « C'est-le-plus-mau-vais-fi-lm-qu'-on-ait-ja-mais-pu-faire-sur-Da-li. » écouter Dali en réaction sur le tournage.

    Il met en scène surtout des artistes de variété française comme Serge Gainsbourg, Yves Montand, France Gall, Leo Ferré, Georges Brassens, Salvatore Adamo. Dans ces clips vidéos, il utilise fréquement le fond bleu, et l'incrustation des personnages dans des décors irréels ainsi que la multiplication des personnages, créant des mouvements dynamiques et une esthétique toujours travaillée et conceptualisée.


    Malgré tout ses efforts pour rendre la télé meilleure, il faut bien se rendre à l'évidence, c'est un échec. Quelques rares émissions perpétue la tradition créatrice initié par JC Averty, comme par exemple «L'oeil du cyclone. »

     

     

     

    Extrait documentaire sur JC Averty
    Clip Boby Lapointe + Pr Choron
    Clip Salvatore Adamo
    Clip Boby Lapointe
    Serie de clips « Melody Nelson » pour Serge Gainsbourg
    Clip Dominique Walter

    Clip France Gall

     


    PIER

     


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  • RON MUECK - Sculpteur énigmatique

    Ron Mueck, né à Melbourne en 1958. Mueck est un sculpteur hyperréaliste travaillant en Grande-Bretagne. Son père fabriquait des jouets en bois et sa mère des poupées de chiffons. Mueck commence sa carrière en modélisant des marionnettes pour la télévision et le cinéma, en Australie, à Los Angeles puis à Londres. Il a ainsi travaillé pour le film Labyrinthe et a collaboré au Muppet Show. Mueck collabore en 1996 avec sa belle-mère Paula Rego pour qui il produit des petits personnages pour un de ses tableaux, en particulier une sculpture de Pinocchio. Il est révélé en 1997 par l'exposition "Sensation" à la Royal Academy of Arts pour laquelle il a créé dead dad (Père mort), une œuvre sur le corps de son père réduit au deux tiers de sa taille réelle. Il connaît depuis un succès croissant, de la Biennale de Venise en 2001 où il présente son boy (garçon) de cinq mètres haut.
    Boy est un garçon accroupi, scrutant d’un regard inquisiteur. Il est assis comme une sphinge, égale au mythe d’Œdipe il attend des visiteurs. La sphinge est fille de Typhon et d'Échidna. Envoyée par Héra suite au meurtre du roi de Thèbes Laïos, elle ravage les champs et terrorise la population. Ayant appris des Muses une énigme, elle déclare qu'elle ne quitterait la province que lorsque quelqu'un l'aurait résolue, tuant quiconque échouerait. Le régent, Créon, promet alors la main de la reine veuve Jocaste et la couronne de Thèbes à qui les débarrasserait de ce fléau. De nombreux prétendants s'y essaient, mais tous périssent jusqu'à l'arrivée d'Œdipe. Furieux de se voir percé à jour, le Sphinx se jette du haut de son rocher et meurt. C'est ainsi que, Créon tenant sa promesse, Œdipe contracte avec sa mère une union incestueuse.
    La sphinge est une créature monstrueuse sans généalogie, elle représente la puissance des mots : le langage peut tout dire et révéler. Mais les mots prononcer, la sphinge n’a plus de raison de vivre, son existence étant maintenu par des mots pas encore prononcé. Ces mots dans ce mythe représentent « les derniers mots au delà duquel les autres mots n’ont plus de sens ». G. Bataille. A l’inverse de boy qui lui permet une sublimation des mots non dits. Œdipe au lieu de maintenir se manque, va l’investir. Il tue le langage, le rapport a l’altérité. Ainsi boy pose nu, dans une nudité du savoir absolue, traité du coté du vide. A l’inverse de la sphinge le garçon manque du manque. Mueck témoigne donc avec boy de la présence de l’homme dans le monde et dans le langage, il interroge la véracité de son savoir, savoir désormais sans manque.
    Les œuvres de Mueck sont souvent l'incarnation de nos failles, de nos imperfections, de notre humanité. Les êtres de Mueck portent en eux une sincérité énigmatique toujours entre mythe et réalité.

    Dead dad

     
    boy


    the big man

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